Le moteur utilisé pour faire tourner le jeu et celui d’Unreal, mais les graphismes donnent un résultat tout de même un cran en dessous de titres comme Unreal Tournament 2003 ou d’Unreal 2. Le problème se situe surtout au niveau des textures. Elles paraissent moins précises et avec des couleurs plus ternes. L’animation des personnages est quant à elle plutôt réussie grâce au Motion Capture, mais il n’y a rien d’exceptionnel non plus. La partie son est très discrète, mais rempli son rôle comme il faut. Pour ce qui est de la machine nécessaire à faire tourner le jeu, les exigences matérielles sont identiques à Unreal Tournament 2003 (Athlon ou Pentium 4 et GeForce 3).
Paradise City, le lieu de toutes les rencontres
Pour finir ce rapide test, je dirais que ce jeu est un défouloir occasionnel. Il n’est pas dénué de qualités, mais est plombé par des gros déAfauts comme ses temps de chargement trop longs et ses scripts qui enlèvent toute notion de liberté, qui aurait pu être un plus indéniable au jeu. Mais la violence gratuite du jeu, qui dépasse celle de certains titres déjà qualifiés comme étant violents, l’éloignera d’une grande partie du public. En fait, c’est typiquement le genre de jeu que l’on oublie après une bonne bière et un épisode de Nice People, dommage…
Point(s) positif(s) |
Point(s) négatif(s) |
|
|